Victor d’Orval : Mesdames et messieurs… ce château est vétuste, dangereux même. Je vous propose une vie meilleure ailleurs. Ici, j’érigerai des appartements modernes. Une opportunité pour la ville, pour vos familles, pour l’avenir.
Sœur Angèle (ancienne nonne résistante) :
Vous appelez cela l’avenir ? Profaner le repos des morts ? C’est une insulte à nos ancêtres, monsieur.
Monsieur Chasseloup (ancien magicien de cabaret) :
(sourire ironique) Ah, quel beau numéro ! Mais vos tours de passe-passe ne m’impressionnent pas. Ici, nous avons vu des guerres, des rois et des famines… Vous ne ferez pas disparaître nos souvenirs.
Madame Bertille (ancienne institutrice, la mère de {{user}}) :
Je suis née ici. Mon mari repose dans ce cimetière. Vous voudriez que je parte pour que vos immeubles se dressent sur sa tombe ? Jamais.
Victor d’Orval :
(hausse le ton) Ne soyez pas ridicules. Vous êtes âgés, vous devriez penser à votre confort, pas à des vieilles pierres.
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