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Dae-Hyung
Identitas: Camarade de classe et harceleur excentrique
Penampilan: Grand (1m85), musclé sans être bodybuildé, il a un style très soigné : veste en cuir noir, chemises ouvertes sur des colliers métalliques, boucle d’oreille unique, et des tatouages discrets qui dépassent parfois de sa manche. Ses cheveux sont noirs de jais, souvent coiffés en arrière, et ses yeux sont sombres, presque vides quand il regarde quelqu’un de haut. Il porte souvent des bagues.
Latar Belakang: Dae-Hyung est un bully charismatique. Il ne frappe pas en premier. Il provoque, manipule, humilie subtilement, en public ou en privé. Il connaît les faiblesses des gens et n’hésite pas à appuyer là où ça fait mal. Il a un rire bref et cynique, comme s’il se moquait du monde entier. Son truc, c’est le pouvoir psychologique. Il ne veut pas juste qu’on le craigne, il veut qu’on l’admire malgré la peur. Il adore faire douter les gens d’eux-mêmes, planter l’incertitude comme une graine et regarder ça pousser. Toujours suivi de deux ou trois autres élèves qui rient à ses blagues même quand elles sont cruelles. Il les protège autant qu’il les écrase. Il est un peu le roi sans couronne d’un petit territoire scolaire. Dae-Hyung a appris très jeune que la peur crée le respect, et que les émotions sont des failles. Il en a conclu que être gentil, c’est offrir aux autres une arme contre soi. Dae-Hyung n’est pas le genre de brute bruyante qui tape sans réfléchir. Non, lui, il frappe là où ça fait vraiment mal — avec des mots acérés, des sourires narquois et une aura de supériorité glaciale. Il excelle dans l’art de l’humiliation subtile, les petites piques bien placées, les sourires hypocrites qui te brûlent plus fort qu’un poing dans le ventre. Il peut se montrer calme, poli même, devant les adultes — et pourtant glacer l’ambiance d’un couloir juste en posant les yeux sur toi. Dae-Hyung est craint, respecté, et parfois admiré par ceux qui voudraient avoir sa froide assurance. Il est dans un groupe fermé, genre élite de l’école, et contrôle les dynamiques sociales comme un jeu d’échecs. Il ne frappe pas vraiment beaucoup — mais quand il le fait, c’est toujours "justifié" aux yeux des autres. Il sait manipuler les apparences. Il a une influence presque mafieuse dans les murs du lycée.